
Scolarisation et handicap. Connaitre et se repérer dans les parcours
Ce guide présente les différentes aides possibles à la scolarité des enfants présentant des singularités et ayant des besoins éducatifs et pédagogiques particuliers.
Ce guide présente les différentes aides possibles à la scolarité des enfants présentant des singularités et ayant des besoins éducatifs et pédagogiques particuliers.
Les équipes parcours santé personnes âgées (EPS PA) ont été mises en place en 2020 dans la région Occitanie avec pour objectif de fournir un appui par les établissements de santé à la gestion de l’épidémie de Covid-19 dans les Ehpad. Depuis 2021, leurs missions se sont étendues, avec notamment le soutien à la gestion des risques épidémiques et l’expertise gériatrique globale répondant aux problématiques des équipes des établissements médico-sociaux, des médecins traitants et des usagers.
En 2024, 14 EPS PA de proximité sont déployées sur l’ensemble des départements (certaines déclinées en antennes) et 2 EPS PA hémi-régionale assurent un rôle de coordination de ces équipes et de déploiement du programme de démarche qualité régional. Cette analyse fournie une synthèse régionale de l’activité de ces EPS PA au cours de l’année 2024 et est issue de la saisie au fil de l’eau de chaque expertise sur un portail dédié aux EPS PA.
Sur demande de la DTPJJ Gard-Lozère Gard-Lozère, le CREAI-ORS OCCITANIE a recueilli les témoignages de professionnels et habitants de Nîmes, Alès et Bagnols-sur-Cèze pour rendre compte des évolutions constatées du trafic de stupéfiants chez les mineurs, et des conséquences en terme d’accompagnement notamment. Un autre volet de l’étude, réalisé par Thierry Goguel d’Allondans étudie les paroles des jeunes suivis par la PJJ dans le cadre de mesure(s) pénale(s) liée(s) au trafic de stupéfiant.
Depuis 2009, la France a lancé plusieurs plans de réduction de l’utilisation de produits phytosanitaires (PPS) qui n’ont, ni atteint leurs objectifs, ni remporté une adhésion importante des agriculteurs. Comment alors concilier protection de la santé et de l’environnement d’une part et besoins des agriculteurs d’autre part ?
Les agriculteurs étant les décideurs ultimes de l’usage des PPS, l’enquête Orup’Oc a cherché à recueillir leurs préconisations pour le développement de pratiques culturales n’utilisant que peu ou pas du tout de PPS.
Ces résultats pourraient alimenter, aux échelles nationale, régionale et locale, les stratégies d’action des acteurs publics, tant dans le domaine de la gestion de l’agriculture que de la protection de l’environnement et de la santé.
L’étude Orup’Oc a cherché à apporter un nouvel éclairage et des propositions opérationnelles sur la question de la réduction des produits phytosanitaires (PPS) en interrogeant les décideurs ultimes de cette réduction : les agriculteurs. Après avoir identifié et appliqué les critères de définition d’un échantillon représentatif de ces professionnels en Occitanie, une enquête a recueilli les perceptions et les recommandations de 58 agriculteurs occitans à travers une série de questions discutées en entretiens individuels : Quel regard portent ces professionnels sur les PPS ? ; Sont-ils intéressés à réduire l’usage de ces produits ? ; L’ont-ils déjà fait et, si oui, comment s’y sont-ils pris ? ; Qu’est-ce qui a pu les y aider ? Ont-ils rencontré des difficultés ? ; Enfin, quelles préconisations formulent-ils pour convaincre un agriculteur de réduire l’utilisation des PPS de façon importante ?
Ce document présente tout d’abord une synthèse des réponses apportées par ces agriculteurs, puis à partir de ces réponses, des propositions traduisant leurs préconisations en actions concrètes sur le territoire occitan.
C’est dans la continuité des politiques publiques engagées dans la lutte contre les exclusions dans le domaine de la santé ayant créée les permanence d’accès aux soins de santé (PASS), que les équipes mobiles psychiatrie précarité (EMPP) ont été mises en oeuvre.
La première mission de ces équipes est une démarche d’« aller vers » les publics ciblés, au plus près de leur lieu de vie (dans la rue, dans les centres d’accueil et parfois même à domicile). Les publics cibles sont les personnes en situation de grande précarité et d’exclusion présentant une souffrance psychique.
La seconde mission des EMPP est en direction des partenaires afin d’assurer une fonction d’interface entre les équipes psychiatriques et les acteurs de première ligne accueillant ces publics.
Le CREAI-ORS Occitanie est missionné par l’ARS Occitanie pour réaliser une synthèse des données issues des rapports annuels d’activité des EMPP.
Télécharger le rapport d’activité 2022
La circulaire DHOS/DGS du 8 septembre 2000 relative à l’organisation des soins hospitaliers pour les personnes ayant des conduites addictives est venue définir le cadre de fonctionnement et les missions des Équipes de liaison et de soins en addictologie (ELSA).
Afin d’améliorer l’accueil et la prise en charge à l’hôpital des personnes ayant un usage nocif ou une dépendance à une ou plusieurs substances psychoactives, la circulaire pose le renforcement ou la création des ELSA. En effet, il est envisagé, pour les patients entrant à l’hôpital pour différentes pathologies en lien ou non avec des conduites addictives, d’avoir accès à un conseil voire à une consultation addictologique. Ces équipes viennent alors en soutien des soignants non spécialistes en addictologie.